Pour revenir sur la séquence émotion à l’origine de ce post, je me permet de vous raconter ma petite anecdote de cet été :
En 1997, en arrivant à Cholet suite à une mutation professionnelle, j’ai acheté une cox 1200. En venant au matin au taf, une collègue m’indique que son mari vient juste de vendre la sienne qu’il possédait depuis ses 18 ans et qu’il regrette déjà mais que c’est la vie, priorités familiales et tout et tout… Il lui reste cependant quelques pièces et je m’empresse de passer dans son garage pour en récupérer quelques unes pour mon bolide
Cet été, en camping en bord de Loire , je « surprend » un paparazzi en train de mitrailler notre westy : j’engage la conversation, il m’indique qu’il possède une cox depuis 17 ans, qu’il l’a intégralement restaurée et qu’elle fait son bonheur , le tout en me montrant quelques photos sur son be bop. Et au hasard de la discussion, il m’indique l’avoir acheté … à Cholet et me cite le nom du pote dont je parle plus haut : je récupère quelques photos et ses coordonnées. De retour de congés, je lui passe les infos et ce n’est pas sans une larme d’émotion de constater que son véhicule de jeunesse est entre de bonnes mains et toujours sur la route qu’il me serre fort dans ses bras … 
Dès fois, des hasards et des choses simples font des bonheurs simples … 
Paco
Très belle histoire.