Sur la vidéo du premier j’avais pas vu, à 6’00: on voit à travers le bus, j’ose pas imaginer l’état de putréfaction des longerons
hélitreuiller une tonne de féraille qui risque de se scinder en deux et tomber sur les 4 zouaves qui sont en dessous
ce genre de gars ,faut le faire bosser sur des sites hautement archeologiques…(sans la pelle mecanique… )
on dirait qu’il vient de trouver la tombe d’un roi d’egypte … alors que son gourbi il pourrait meme pas le dater au carbone 14…trop recent …
m’enfin…le coeur a ses raisons (vous connaissez la suite)…
le jour ou tu trouve le même, tu lui colle 4 jantes alu, un droppage « good stance », un p’tit pinstripping sur le c…derriere, un p’tit moulin avec deux jolie carbu et en vente à 15000 roros , on en reparle après
C’est sûr que pour le « good stance » c’est ce qu’il faut, mais c’est un loisir qui coûte cher .
A mon avis d’artisan, à 15 000 roros, il bouffe tout le pognon qu’il veut : matériel acheté, frais et temps passé (s’il veut en vivre…)
si le gars possede un minimum de matos, le remontage d’un moulin et de la mécanique, freinage etc… ne te coute pas plus de 800 à 1000 roros pour en faire un véhicule roulant, après 1000 à 1500 de babiole (jantes, housse de siege, CT etc) plus la loc de la pelle 200 roros et te voila avec un bus qui roule et qui garde son look « oublié » je te laisse calculer la marge )
un par mois je survis, un par semaine c’est royal au bar
après si le gars veut vraiment le restaurer ou le faire restaurer, le budget de départ ne sera plus le même mais à la revente, vu les prix qui explosent completement (petit rappel du bus vendu au enchere à plus de 100000$)la marge sera toujours bonne