Ushuaia - Alaska en west

hoy !! merci pour les photos !! :astonished: :astonished:
Continue ! on suit cela avec attention …
en tout cas tu semble bien t’éclater c’est coool
bonne route ! :arrow_right: :arrow_right: :arrow_right:

ze boogymann

Salut

Je viens de tomber sur ton post et je trouve l idee mortelle, d autant plus que sur la meme periode que toi, je fais comme toi mais de l autre cote de l ocean, en Australie, arrive le 25 juin tout seul, j ai chope un bus sur place et je le retape en tt en roulant.

Bon vent et amuse toi bien, je pense ouvrir un post sur mon trip, il y en a dja un d ouvert sur OD, voir signature

Je suivrais le tien car l amerique du sud est un projet aussi, qd on commence a bouger on sait pas trop si on va s arreter :laughing:

A tres bientot
Brice

Excellent!!

Bon road trip’!! :smiley:

Bo le brice… si tu croise des infos sur les combi transformé par Sopru a Cairns, je suis preneur…

Alors là, pareil: merde! Bon road-trip à toi, chouette de voir tes photos…
Tu as eu des découragements? Tout va bien?

Donne-nous des nouvelles quand tu peux! :wink:

salut les gars, bon je viens donner qques news quand même.
je suis maintenant au brésil depuis un peu plus d’1 mois et apres 4 mois du départ. Tout se passe super, pas de baisse de régime, que du bonheur, je suis dans mon élément… au fait on est quel jour là ?. C’est tout les soir samedi et tous les matin dimanche … elle est pas belle la vie. Si vous sentez que ça vous tente de faire un trip comme ça et bien moi je vous dit fo pas hésiter, même tout seul, y a no prob. En fait je me retrouve tjr avec des gens et rare sont les moments de solitude prolongé.
Le combi fonctionne a merveille. A part 1 vidange et 2 réglages culbu, j’ai rien fait dessus… meme pas changé une ampoule. tout baigne. J’en suis a plus 5500 kms pour le moment. mon rythme de croisiere est plutot pepere, genre 60-70 km/h. je ne lui tire jamais sur la gueule et il aime ça taper des bornes BIBI.
Pour ce qui est de la vie dans le combi, meme apres 4 mois, je suis toujours aussi content de lever la réhausse et de déplier le lit. j’adore ça et j’adore mon BIBI… les habitudes sont installées, je me suis organisé et ça roule. c’est vraiment fonctionnel c’est fou.
voilà sinon je donc dans une partie du brésil qui s’appelle le pantanal. C’est une zone grande comme la moitier de la france, de no man’s land, marécageuse ou ni routes ni chemin y passe, seulement des rivieres. Jaguar, crocodiles et piranhas y sont les maitres… à la base je n’avais prévu que d’y rester qques jours, le temps de faire une excursion en bateau et finalement je suis devenu cuisinier sur l’un des bateau alors ça fait maintenant 2 semaines que je sillonne la jungle et que je vis sur l’eau dans le pantanal à enmener les touristes en expedition. Je fais ça jusqu’a début aout et puis je vais reprendre quand meme la route pour passer en bolivie.
voili voilou les amis, voyez un peu comme c est dur … si vous souhaitez voir les photos ou avoir plus de details sur mes aventure, il y a tout de dispo sur mon blog. le lien est dans ma signature.

et Brice, super ton trip, je connait un peu l’australie, ça déchire, les pokens !!! euh pardon, les australien sont vraiment cool. y a pas mal de combi en plus.

tchuss

salut les gars, bon je viens vous donner qques news avec photos svp ( cette fois ci !!!). ben ouais, deja que je suis faineant a la base alors maintenant que je voyage, c est encore pire !! mais je pense a vous car je sais que les photos ca parle toujours mieux que 4 page de blabla.
alors la derniere fois je disais qu il n y avait encore rien eu niveau mecanique et bien j ai parle trop vite. La bolivie a ete vraiment dur pour tout le monde, les routes sont vraiment merdiques. je vous met un petit extrait de ce que je raconte sur mon blog

"
La route entre la frontière et San José était vraiment monotone, je m’ennuyais et manquais de m’endormir à plusieurs reprises. Ce n’était que lignes droites après lignes droites, tout était plat. La nature était, elle aussi très ennuyeuse. Tout était si sec et jaune. Il faisait très chaud et dans le combi le thermomètre montait plus de 40°C. La seule chose qui me tenait éveillé était la température du moteur. Ca avait beau être plat, le moulin chauffait alors je réduisais la vitesse. De 70 km/h, je passais à 65 puis à 60. A cette vitesse j’arrivais à rester autour des 100°C. Mais quelques choses ne tournait pas rond, je sentais que Bibi n’était pas comme d’habitude. De temps à autres, il y avait une petite montée et le moteur perdait rapidement sa puissance, j’étais obligé de rétrograder et la température montait en flèche jusqu’aux limites admissibles. J’essayais tant bien que mal de rerégler le carbu sur la route mais rien ni changeait. Lorsque j’étais reparti du Pantanal, le moteur avait des trous à l’accélération alors j’avais retouché carbu et allumage jusqu’à ce que je trouve le bon réglage. Après quelques centaines de kms, je me rends compte que ce n’était peut être pas la meilleur chose à faire. Mais je verrais ça plus tard, j’essaierais de trouver un garage qui sait faire. Pour le moment c’était plus embêtant que dangereux. De temps à autres, je m’arrêtais dans les pueblitos de la région, pour refroidir un peu le moteur et j’en profitais pour rechercher du carburant. J’ai fini par trouver mon affaire chez un particulier !!!
Nous avions décidés de faire la fameuse « ruta chiquitana » pour aller voir un peu à quoi cela ressemblait. D’après les renseignements récupérés, 3 jours suffisaient pour en faire le tour et la piste plutôt bonne. De plus, j’allais battre mon record de distance sur terre battu de 330 kms. Il n’y avait pas moins de 450 kms de piste sur 600 kms. Croyant que nous allions enfin passer du bon temps, la santé revenue, nous avons dit au revoir à Jérôme et Sophie et nous nous sommes enfilé dans ce chemin avec Bibi. J’avais fait vidange, filtre à huile et filtre à essence pour être tranquille niveau mécanique, avant de partir. Grossière erreur que d’avoir pensé cela. Dès les premiers kilomètres, la piste est rapidement devenue très moyenne. Avec le mélange de caillasses et de terre compacte ainsi que les fameuses tôles ondulées, les vibrations devenaient vraiment fortes. Bibi tremblais de partout. Je dus ralentir à une moyenne de 15 km/h pour avoir un peu de confort. Une heure après je perdis sur le chemin ma plaque de protection moteur. Le soir je fis le tour du combi et trouva plusieurs boulons desserrés un peu partout. Par contre, nous avons réussis à dormir là où les gens nous disaient que s’était impossible, dans un village Mennonite, cousins des Mormon, communauté qui refuse tout progrès. Le lendemain nous continuâmes la route, le temps était très sec, il y avait des feux de forêt un peu partout autour. Ils créaient un épais brouillard de fumée et la poussière que les camions et les 4X4 soulevaient en nous doublant ou en nous croisant, se rajoutait à cette atmosphère déjà très chargée. Quelques fois je ne voyais même plus à 2m devant le combi. Le deuxième soir, nous n’avions fait que 110 kms et nous en avions vraiment marre alors nous avons décidé de rouler, rouler, rouler, pour sortir le plus rapidement de cet enfer. Il n’y avait rien de joli, le peu que nous arrivions à voir était complètement brûlé. Les missions, elles, n’avaient rien d’extraordinaire, après en avoir vu une, s’étaient finalement toutes les mêmes plus ou moins grandes. Seule l’histoire de la relation entre les jésuites et les tribus indiennes des alentours était intéressante. Nous avons quand même assisté le deuxième soir à la messe donnée par le padre de San Rafael ainsi qu’à un concert de musique classique joué par les jeunes de San José de Chiquitos. Nous avons réussis à dormir, ce soir là, dans le cloitre de la mission. Le lendemain nous avons roulé de 8h du matin jusqu’à la nuit. Je pensais tout le temps au combi, m’arrêtant souvent pour regarder en dessous si tout allait bien. Des bruits suspects faisaient leur apparition. Bruit de suspensions, bruit dans le train avant, bruit de moteur, j’analysais tout et je devenais un peu parano mais ça vibrer tellement que je ne pouvais pas croire que Bibi allait tenir jusqu’au bout. Il souffrait et je l’entendais gémir mais nous ne pouvions pas s’arrêter, il fallait continuer, il fallait finir. Nous avons passé la troisième nuit sur le terrain de foot d’un village indien, accueillis par une quinzaine de gamins qui nous ont accompagnés toutes la soirée. Le quatrième jour, il restait encore 130 kms à faire, soit encore 7h à 8h de route. Le chemin était devenu encore plus terrible, par moment nous devions nous arrêter pour franchir au ralenti, des charniers créés par les pluies de la dernière saison humide et qui n’avait jamais été rebouchés. Ca devenait de la folie. En fait la piste était à peu près bonne mais avec comme référence un 4X4 et non pas un vieux combi de 34 ans ! La prochaine fois je le saurais ! Mais ce qui devait arriver, arriva. Lorsque, en inspectant le dessous je découvris un soufflet de cardan déchiré. Non pas que se soit un problème grave, surtout que j’en avais un de rechange, mais la fatigue des derniers jours m’avait rendu feignant et je n’ai pas revérifié assez rapidement le serrage des six vis qui tenaient le soufflet et la noix de cardan, après avoir effectué le travail. Erreur fatale que je payerai deux jours plus tard après le passage d’un dos d’âne. Nous entendîmes un gros bruit provenant de l’arrière, puis plus moyen d’avancer. Le combi était bloqué au milieu de la route avec tout le trafic en train de me klaxonner dans les oreilles. « Eh mec, t’as qu’a venir nous aider à pousser le combi sur le coté, ça ira plus vite et se sera surtout plus intelligent ! » mais je n’entendis aucune réponse et personne ne vînt nous aider. Après inspection des dégâts, toutes les vis s’étaient fait la male et la noix de cardan s’était désolidarisé de la boite de vitesse. La bonne nouvelle était que le soufflet n’avait pas craqué et que la noix ne s’était pas barrée. Par contre avec la force centrifuge, les deux dernières vis qui tenaient encore l’ensemble ont éclatées les filetages et une des deux a cassée net dans le trou. Après une bonne heure de galère, je réussis à remonter l’ensemble mais il n’y avait plus que quatre vis sur six qui tenaient le tout. Et comme souvent, la loi de Murphy n’est jamais très loin, disons aussi que nous étions samedi en fin d’après midi, que le patelin où nous étions en rade n’était pas du tout équipé pour refaire les filetages et que sur la route, peu avant l’incident j’avais perdu mon porte monnaie avec tout mon pognon dedans. Bon !!! Restons calme ! Y a des jours comme ça ! Cet incident est arrivé après être passé par Santa Cruz et nous étions repartis pour Samaipata, un petit village dans les montagnes apparemment sympa, pour nous reposer après les cinq jours de merde passés dans ce chemin de merde « chiquitana ». Mais il était maintenant impossible de grimper en montagne vu l’état dans lequel étais Bibi. Pouvant encore rouler doucement, nous avons trouvés un coin pour passer le dimanche et attendre le lundi matin pour retourner à Santa Cruz et essayer de trouver quelqu’un qui puisse réparer tout ça.

Bibi à finalement était réparé avec tous les soins qu’il nécessitait, filetages refait et moteur reréglé. En fait, en voulant retoucher l’allumage, je lui avais donné trop d’avance. D’où la monté en température du moteur à chaque fois que j’appuyais sur le champignon. Il ronronne de nouveau et a retrouvé sa jeunesse."

ca fait maintenant 6 mois et j adore toujourrs autant voyager. Je suis repasser en argentine et j ai en meme temps entamer la grande descente vers la terre de feu et la patagonie. 5000 kms m attendent a travers les andes. aujourd hui ca fait 15 jours que j ai commencer a grimper. j avais un peu peur de comment reagirait le combi mais ca a l air de le faire. il est simplement un peu essouffler et a du mal a demarer. il a aussi bcq moins de puissance a bas regime. j ai deja passer 3 col a plus de 4000m. mon record pour l instant etant 4200m.
bon treve de blabla, place au photo
tchuss


mission jesuite


sur la route en bolivie


bivouac


oh une vache!!! touche a bibi toi !


dans les andes en bolivie


nouveau chauffeur


autre bivouac au bord d une riviere


changement de place de la plaque d immatriculation car j ai faillit la perdre a force de frotter par terre … no comment


rue bolivienne


j essaye de regler le moteur qui a des rates


la fameuse et toute pourri ruta chiquitana


ruta chiquitana


plaque de protec moteur qui c est barrer sur la route


ruta chiquitana

le nord ouest argentin


j ai passer 3 jours dans ce spot de fou et j etais tout seul…


est ce que vous voyez le combi ?


sympa la route… la je suis a un col a 4000m


va falloir remonter tout ca apres, glurps !!!


dans la valle


pour arriver dans ce village perdu dans les andes.


pumamarca et sa montagne au 7 couleurs

Un mot… Merveilleux !

joli tout ca… courage et bonheur pour la suite de ton périple…
Il y a personne d’inscrit sur la liste d’assistance près de la « ruta chiquitana » :roll_eyes:

Salut,
C’est vraiment magique… Dire qu’on se fait ch*er avec l’automne, ici :thinking:
Continue bien ta route!

salut ! je vais sur ton blog de temps en temps suivre tes aventures, tu m’a l’air de bien kiffer ! j’esperère que tu la reverra ta belle, en attendant jete un oeil aux soufflets de temps en temps ! :smiley:

Salut super trip :open_mouth:

Salut Julien !!!

Dans ta descente pose toi à Pardellas pour quelques jours avec les baleines, avant quelles ne partent vers mi-novembre.

Bonne route.

Eric

merci a toi de nous permettre de nous evader un peu de notre quotidien…

chris

J’y compte bien !!! c est clair. merci pour l info du bivouac. Biz à vous

Salut les jeunes, pour info, nouvelle vidéo en ligne
visionnage ici:

vimeo.com/16121005

ou sur le blog, section video

bon visionnage

tchuss

juju

Ah les merveilleuses chutes d’Iguaçu, aux trois frontières, Brésil, Argentine et Paraguay, beaucoup de souvenirs.

Et bien voilà, je suis arrivé à Ushuaia, la ville la plus australe au monde. Donc les gars, petite victoire en cette fin d’année 2010. c’est le combi français le plus austral de la planète. :smiley: :smiley: :smiley:
Tout se passe super bien, le combi démarre toujours au quart de tour, rien a signaler à part la merde que j’ai eu en Bolivie mais bon c’était un peu… même carrement de ma faute alors !!!
J’en suis environ à 17000 kms de route après 9 mois et l’échauffement est terminé, comme le titre le dit si bien, mon voyage commence à partir de maintenant. La grande remonté vers l’Alaska qui se trouve être à environ 18000 kms à vol d’oiseau.
Mais finalement, je ne suis pas si seul que ça car je rencontre toujours du monde avec qui partager la route. Je pense que sur les 9 mois de voyage, j’ai du etre accompagné pendant 6 mois. En ce moment ça fait 2 mois que je voyage avec un autre combi appartenant à 2 françaises. Je vous dit pas que ça claque sur la route 2 combis l’un derrière l’autre, un orange et l’autre jaune et vert !!!. Tous les jours, des gens nous prennent en photo ou nous salut ou viennent nous poser des questions. C’est génial.
voila, je m’arrete quelques semaines en terre de feu avant de repartir vers le nord et le chili, je vous souhaite à tous et du bout du monde, de bonnes fetes de fin d’année et surtout bonne santé.

bisous

Je vous fait un petit cadeau quand même:

te voilà arrivé au bout du monde, tu as deja fais un bon bout de route, quand esperes-tu arriver en alaska?

merci de continuer à nous faire voyager :roll_eyes:

salut combilocks,
Merci beaucoup :wink: le forum est connu (maintenant ) jusqu’au bout du monde :grin:

Racontes nous vite ton retour (vers ne Nord) :nerd:

Philcox 09